Qualité de l’air à Vancouver
Nocivité pour les personnes sensibles
La pollution de l’air a atteint des niveaux élevés et elle peut être dangereuse pour les personnes hypersensibles. Si vous ressentez des difficultés à respirer ou une irritation de la gorge, réduisez le temps passé à l’extérieur.
La concentration en particules PM2,5 à Vancouver est actuellement 2.6 fois supérieure à la valeur de référence annuelle de l’OMS sur la qualité de l’air.
L’air est propre et la pollution ne présente que peu ou pas de risque. Acceptable pour la plupart des individus.
La qualité de l’air est généralement acceptable pour la plupart des individus. Toutefois, certains polluants peuvent présenter des risques modérés pour la santé d’un très petit nombre de personnes particulièrement sensibles à la pollution de l'atmosphère.
La pollution de l’air a atteint des niveaux élevés et elle peut être dangereuse pour les personnes hypersensibles. Si vous ressentez des difficultés à respirer ou une irritation de la gorge, réduisez le temps passé à l’extérieur.
Les personnes hypersensibles peuvent ressentir des symptômes médicaux. Les personnes en bonne santé peuvent ressentir un essoufflement ou une irritation de la gorge si elles restent en extérieur pendant de longues périodes. Limitez l’exposition prolongée à l’extérieur.
Chaque individu peut commencer à ressentir des effets sur la santé et les personnes sensibles peuvent subir des effets plus graves. Probabilité accrue de détérioration de la fonction cardiaque et pulmonaire. Les activités de plein air doivent être limitées.
Vancouver: informations détaillées
Données météorologiques historiques
La température maximale de l'air observée à cette date à Vancouver lors des 75 dernières années est de +25,7°C, enregistrée en 2022.
Le minimum absolu de +4,3°C a été enregistré en 1985.
Les précipitations les plus importantes (55,45 mm) à Vancouver ont été enregistrées en 1984. La vitesse maximale des rafales de vent a atteint 20,12 m/s en 1955.